© Le printemps du machiniste

Les Présomptions – Collectif Le printemps du machiniste

Les jeunes des Présomptions s’ennuient, au square, la nuit sur les berges du canal, dans le couloir. De l’ennui émergent des inquiétudes, des insultes, des sentiments aussi. Les personnages s’interrogent les rouages de la société dans laquelle ils rechignent à s’insérer. Grâce et disgrâce sont les deux faces de l’intégration sociale : dans un groupe, on peut briller le matin et tomber le soir. Rien n’est stable, et à tout moment l’ordre est sous la menace d’un renversement.

Avec ce spectacle, Le Printemps du machiniste interroge la place de l’adolescent au sein du groupe et à travers son environnement. Conçue comme une partition musicale où la choralité est un défi majeur, Les Présomptions assemble des notes jubilatoires qui s’empilent pour former tantôt une symphonie, tantôt une cacophonie, questionnant avec légèreté et rudesse notre besoin d’exister pour l’autre avant de se trouver soi-même.

Distribution

Texte : Guillaume Poix
Mise en scène : Louis Sergejev
Avec : Dorine Dussautoir, Simon Dusart

© Le printemps du machiniste

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